2. A y réfléchir, le premier décrivait ces passages à l'acte qui ne peuvent être que dans un état second -- alcool, frustration, etc. comme si ceux-ci étaient nécessaires pour que les passages à l'acte soient vécus le moins violemment possible (et du regard extérieur, l'alcool, la frustration, le-bout-du-rouleau portent la violence bien plus qu'elles n'aident en réalité les héros à la supporter;
-- et le numéro zéro était clairement le récit du non-passage à l'acte;
-- et le second est également une histoire de passage à l'acte qui se passe dans la violence -- comme si celle-ci était bien moins une nécessité qu'un état de fait; en s'approchant de leur liberté d'agir, les héros au fur et à mesure des récits devaient se soumettre à la violence même de la liberté d'agir -- c'est un peu en cela qu'il y a, ici, un certain mépris qui ne trouve en réalité sa source que dans la méfiance, vis-à-vis de ces personnes qui sont capables de tout dire et de tout faire, parce qu'ils semblent, au mieux dénués de tout intérêt, au pire, scrupuleusement avides, cette espèce de gloutonnerie existentielle sans estomac.
3. EXCIPIENT, subst. masc.
A.

4. Les points de rupture.
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